samedi, mai 4

Pilule, implant, stérilet, patch, ligature des trompes… Depuis près de soixante ans, la contraception féminine est légale et facilement accessible en France. Grâce à cette avancée sociale, les femmes peuvent plus aisément contrôler leur fertilité et éviter des grossesses imprévues. Mais cette responsabilité représente une lourde charge mentale et apporte son lot d’effets secondaires physiques et psychologiques en fonction des méthodes utilisées. En France, deux tiers des femmes de moins de 25 ans ont recours à la pilule.

Face à ce constat, à l’heure de l’égalité entre les hommes et les femmes, force est de constater que la plupart des hommes ne participent pas au travail contraceptif. Mis à part le préservatif et la peu fiable technique du coïtus interruptus, plusieurs méthodes de contraception masculine méconnues existent depuis quelques années.

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« Mais jusqu’ici, la question de la contraception se pose essentiellement aux hommes quand leur partenaire les met au pied du mur », explique Erwan Taverne, cofondateur de l’association Garcon, le Groupe d’action et de recherche pour la contraception. Il détaille au Point les différentes solutions existantes.

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