mardi, mai 7

Une heure de soleil en plus, mais une heure de sommeil en moins… Dans la nuit de samedi 30 au dimanche 31 mars, comme chaque dernier week-end de mars depuis 1975, il sera 3 heures à 2 heures. Si le changement d’heure fait l’objet de diverses critiques – notamment pour son manque de pertinence –, il peut être, par ailleurs, à l’origine de troubles du sommeil et autres perturbations liées à l’horloge biologique.

« La littérature scientifique montre que le changement d’heure a bel et bien des effets physiologiques et sanitaires », signale l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Et de compléter : « L’adaptation de l’organisme à ce décalage horaire que nous lui imposons variera d’un individu à l’autre et peut durer de quelques jours pour les chronotypes matinaux (personnes ayant tendance à être plus efficaces le matin) à plusieurs mois pour les chronotypes tardifs (personnes ayant tendance à être plus efficaces le soir). »

À LIRE AUSSI Une heure de plus ou de moins ? Attention au changement d’heure ce week-endComment s’adapter au passage à l’heure d’été ? Il est souvent plus difficile à gérer que le passage à l’heure d’hiver, « compte tenu d’un côté de la perte d’une heure de sommeil, et de l’autre du fait que l’horloge biologique devra être avancée d’une heure », précise l’Institut.

Se lever et se coucher tôt

« Changer ses habitudes dès le premier jour permet d’anticiper la perte de sommeil », comme le conseille Le Parisien. Même s’il […] Lire la suite

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