L’Équateur concentre une biodiversité étonnante mais aussi dans ses sous-sols du pétrole.
Alors que de nouvelles plateformes apparaissent chaque mois, les Indiens d’Amazonie luttent pour préserver l’équilibre de tout un écosystème.
Une équipe de TF1 est allée à la rencontre de la communauté des Huaorani, l’une des dernières tribus autochtones de la foret.
Des millions d’hectares de forêts primaires en surface et un réservoir en hydrocarbure dont l’homme ne peut pas encore se passer en sous-sol. En Equateur, où ces deux ressources s’opposent, de nouvelles plateformes apparaissent chaque mois tandis que les Indiens d’Amazonie luttent pour préserver l’équilibre de tout un écosystème.
« Nous, les Huaorani, sommes les propriétaires de ces territoires. Et nous demandons au monde de nous aider à empêcher le développement de la prospection, car ce qui compte pour nous, c’est la sécurité, avec un accès à l’eau, aux arbres, à la nourriture et aux soins traditionnels », lance dans le reportage en tête de cet article, Weia, membre d’une des dernières tribus autochtones de la forêt.
A titre de repère, l’Amazonie d’Équateur représente plus d’un millier de puits d’extraction, menaçant de plus en plus les modes de vie coutumiers.