- Les prétendantes à la succession d’Angélique Angarni-Filopon poursuivent leur voyage de préparation sur les terres natales de la reine de beauté en titre.
- Une équipe de TF1 les a suivies au gré de leurs activités, sur mer comme sur terre.
Leur moniteur les a prévenues. « Même les plus expérimentés tombent, alors si elles tombent à l’eau, c’est un peu normal »
, sourit dans le reportage du JT de TF1 ci-dessus celui qui initie ce jour-là les 30 candidates à Miss France 2026 à la yole, le bateau typique de la Martinique. Les prétendantes à la succession d’Angélique Angarni-Filopon se sont littéralement jeté à l’eau lors de leur voyage de préparation dans l’île, dont elles découvrent l’essence même depuis leur arrivée en début de semaine. Après le sport local qu’elles ne connaissaient pas pour la plupart, les jeunes femmes âgées de 18 à 30 ans ont enchaîné les activités avec pour objectif de se mettre en jambe en vue de l’élection du 6 décembre à Amiens.
Si une bonne condition physique est essentielle pour devenir Miss France, une bonne culture générale s’impose également. Les Miss régionales ont été soumises au test annuel, que nous vous proposons de passer à votre tour ici. Plus de 70 questions autour de l’actualité, des arts, des sciences ou encore de la langue anglaise qui ont pu en déstabiliser quelques-unes. Pas le temps de souffler que le prochain rendez-vous pointe déjà le bout de son nez.
Épaulées par Miss France 2025, originaire de la région, elles s’essaient ensuite à la danse martiniquaise. « Je suis tellement, mais tellement émue qu’elles aient un pied dans cette culture martiniquaise qui nous berce depuis des années, nous Martiniquais »
, témoigne face à notre caméra Angélique Angarni-Filopon, l’ancienne hôtesse de l’air de 35 ans qui s’apprête à passer le flambeau. Tout l’enjeu maintenant pour les Miss est de réussir à garder le rythme jusqu’à la cérémonie.










