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- Ce lundi 29 décembre, ils livrent leurs analyses sur les excès de vitesse de plus de 50 km/h.
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Depuis ce lundi, les excès de vitesse de plus de 50 km/h sont des délits. Ils pourront être punis de 3 mois de prison, jusqu’à 3.750 euros d’amende et faire l’objet d’une inscription au casier judiciaire. Une mesure prise alors qu’en 2024, la Sécurité routière a relevé plus de 63.000 excès de vitesse en métropole. Une hausse de 69% en 7 ans.
Jusqu’à présent, le grand excès de vitesse était sanctionné par une contravention de 5e classe et ne constituait un délit que lorsqu’il était commis en état de récidive.
Adrien, un téléspectateur du Plessis-Robinson (Hauts-de-Seine), réagit à cette nouvelle sanction. « La justice est plus sévère avec les automobilistes qu’avec la vraie délinquance qui s’attaque aux policiers. Deux poids, deux mesures, comme d’habitude
« , estime-t-il.
« C’est pour ça qu’il ne faut pas opposer les Français. Il faut expliquer les choses. C’est comme un enfant, il faut lui expliquer les choses. Il faut expliquer aux Français. Effectivement, on doit être présent et leur dire les causes. En fait, on donne une sanction, on n’explique pas. Il faut expliquer et la prévention fonctionne. Elle fonctionne même très bien. Après, c’est une question de politique
« , lui répond Norbert Pirault, porte-parole de l’Association Victimes Solidaires.
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