Avoir été nommé « ambassadeur spécial » à Hollywood n’est peut-être pas si futile et inutile que ça. En tout cas, pour Mel Gibson. Si on ne sait toujours pas ce que vont apporter à la communauté les trois acteurs nommés par Donald Trump pour être ses « yeux » et ses « oreilles » à Los Angeles, la star de L’Arme fatale devrait bénéficier d’une grâce particulière : il va pouvoir se racheter des pistolets.
Depuis 2011 en effet, Mel Gibson est interdit d’armurerie. La raison est simple. Il a été reconnu coupable de violences conjugales, ce qui lui retire le droit, si sacré aux États-Unis, de posséder des armes à feu. Une règle de bon sens mais qui frustre visiblement beaucoup le comédien.
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Pour preuve, comme le relaye le New York Times, son avocat est allé plaider sa cause auprès de l’administration Trump afin de lui restaurer son droit à détenir une arme alors que « depuis plusieurs années il essaye d’en acheter une dans le Nevada mais se l’est vu refuser à cause de sa condamnation ». Et force est de constater que ça a marché.
Des armes pour tous, ou presque
Il a tout de même fallu licencier ceux qui faisaient barrage, comme l’avocate du département de la Justice, Elizabeth G. Oyer, dernier rempart légal contre une telle restitution. Le mois dernier, après avoir, de façon répétée, refusé de rendre son autorisation de port d’arme à Mel Gibson, elle a tout simplement été virée de son poste […] Lire la suite