Le roi Charles III avait une “bonne nouvelle” à partager avec ses sujets vendredi : “Son traitement contre le cancer sera considérablement allégé dès le début de l’année prochaine”, résume The Times.
“Aujourd’hui, je suis en mesure de partager avec vous la bonne nouvelle que grâce à un diagnostic précoce, une intervention efficace et le respect des ordres des docteurs, mon programme de traitement contre le cancer pourra être allégé” en 2026, a déclaré le souverain de 77 ans dans un message préenregistré, diffusé sur Channel 4 dans le cadre d’une soirée consacrée à la prévention du cancer.
“Ce tournant est à la fois une bénédiction personnelle et un témoignage des progrès remarquables réalisés dans le traitement du cancer ces dernières années ; un témoignage qui, je l’espère, pourra donner du courage aux 50 % d’entre nous qui seront diagnostiqués avec cette maladie à un moment donné de leur vie”, a-t-il ajouté.
La nouvelle sur le traitement de Charles III “a été perçue au sein du palais comme un grand pas en avant. Cela ne signifie toutefois pas que le roi soit en rémission ou qu’il soit guéri du cancer”, souligne The Times.
Dépistage précoce
Le souverain avait été hospitalisé en janvier 2024 pour un traitement lié à une hypertrophie de la prostate. “Au cours de ce traitement, les médecins avaient découvert une autre anomalie et diagnostiqué une forme de cancer”, rappelle le titre britannique. Le roi n’a révélé ni le type de cancer dont il souffrait ni le traitement qu’il a reçu mais “des membres de son entourage ont confirmé qu’il ne s’agissait pas d’un cancer de la prostate”, précise le quotidien.
Charles III a également profité de son intervention télévisée pour encourager les Britanniques à se faire dépister, se déclarant “profondément troublé” par le fait qu’“au moins neuf millions de personnes dans [son] pays ne font pas les tests de dépistage qui leur sont proposés. C’est au moins neuf millions d’occasions ratées d’obtenir un diagnostic précoce”.
Soulignant l’importance du “diagnostic précoce”, le roi a exhorté ses compatriotes à ne pas éviter le dépistage du cancer “par crainte d’une expérience effrayante, embarrassante ou désagréable”, ajoutant : “Votre vie, ou celle d’un être cher, pourrait en dépendre”.
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