« Comme beaucoup d’êtres humains, je me pose depuis longtemps des questions métaphysiques. On connaît les trois questions kantiennes : que puis-je savoir ? Que dois-je faire ? Que m’est-il permis d’espérer ? [Critique de la raison pure, Emmanuel Kant, 1781]. J’ai personnellement trouvé les réponses dans la foi islamique. Celle-ci repose sur la croyance dans un monothéisme strict. Que dois-je faire ? De bonnes œuvres. Qu’espérer ? La vie après la mort, en restitution des bonnes œuvres.
Mon père est belge, ma mère luxembourgeoise. J’ai grandi dans la région liégeoise, en Belgique, au sein d’une famille certes catholique, mais pas fervente. J’ai fait mon catéchisme, ma petite communion, puis ma grande, mais ça n’allait pas plus loin, nous ne parlions pas particulièrement de religion à la maison.
Il vous reste 88.32% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.















