- Nicolas Sarkozy s’apprête à publier son nouveau livre intitulé « Le journal d’un prisonnier ».
- Son arrivée derrière les barreaux, sa relation avec Emmanuel Macron… L’ancien président se confie.
- TF1/LCI en dévoile les premiers extraits.
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Affaire Kadhafi : Nicolas Sarkozy libéré après 3 semaines de détention
Pendant ses 3 semaines de détention à la prison de la Santé, Nicolas Sarkozy a écrit un ouvrage d’environ 200 pages. Le journal d’un prisonnier
sera publié le 10 décembre aux éditions Fayard. Les équipes de TF1/LCI ont pu se procurer le livre en avant-première. Julien Arnaud, éditorialiste politique, en dévoile les grandes lignes ce samedi 6 décembre.
Le livre commence par le jour de son incarcération : ses adieux à sa famille, la foule de fans devant son domicile, le trajet jusqu’à la prison, puis la fermeture du verrou de sa cellule. L’ancien président se confie également sur sa pratique de la religion. « Dans cette atmosphère désespérante, autant que menaçante, j’ai soudainement éprouvé le besoin de m’agenouiller au bord de mon lit. J’ai prié. Je ne l’ai pas vraiment choisi »
, écrit l’ancien président. Et de poursuivre : « J’ai pensé à ce moment précis de ma vie que la prière pouvait être un précieux secours. »
Notre reporter politique a publié plusieurs extraits du livre sur son compte X :
📖 THREAD EXTRAITS Dans son livre à paraître mercredi @NicolasSarkozy plaide pour une union des droites : « Mon ancienne formation politique n’est pas aujourd’hui en position de force. Elle ne peut plus, en tout cas au moment présent, à elle seule espérer incarner l’avenir(…) — Léonard Attal (@leonardattal) December 6, 2025
Outre son expérience carcérale ou son « épreuve judiciaire »
, Nicolas Sarkozy évoque aussi sa relation avec Emmanuel Macron. « J’avais décidé de tourner la page de notre amitié sans pour autant entrer dans une opposition systématique à sa politique comme à sa personne »
, affirme-t-il. Enfin, il ponctue son récit par des passages beaucoup plus politiques, notamment sur les électeurs du Rassemblement national. Selon lui,
insulter les dirigeants du RN, c’est insulter leurs électeurs. Or, ces électeurs « ne sont plus les nôtres après l’avoir été »
, assure-t-il.
Retrouvez l’intégralité de la chronique de Julien Arnaud dans la vidéo en tête de ce papier.










