- Avant de se faire tatouer, il faut se poser plusieurs questions, notamment celle de savoir si l’on est sûr de son choix et de ne pas le regretter.
- Mais au-delà de la crainte de ne plus supporter la vue de son tatouage un jour, encore faut-il se demander quand passer à l’acte.
- En fonction du mois de l’année où vous vous ferez tatouer, votre dessin ne cicatrisera pas de la même manière.
Par simple effet de mode ou le fruit d’une mûre réflexion, chaque année, nombreux sont ceux qui sautent le pas du premier tatouage. On estime qu’environ un Français sur cinq est tatoué en France, soit 20 % de la population, relaye RMC. Cette passion grandissante pour les tatouages, discrets sur le poignet, en trois dimensions ou sur l’intégralité du bras, doit toutefois se faire en connaissance de cause. Le tatouage est non seulement indélébile, mais aussi sensible aux variations de températures.
Soleil et tatouage : une mauvaise association
S’il est tentant de se faire un tatouage en été pour pouvoir l’exposer fièrement sur la plage, il est préférable de se faire tatouer en hiver, et ce, pour plusieurs raisons. Avec la baisse de l’humidité ambiante durant la saison froide, notre peau est plus sèche, ce qui permet au tatouage de cicatriser plus facilement. En plus, vous aurez sûrement davantage de créneau en hiver ou les salons sont moins fréquentés. Avec aussi, plus de temps pour préparer votre projet et en discuter avec votre tatoueur.
Attention aux frottements des tissus en hiver
Toutefois, l’hiver peut aussi présenter quelques inconvénients. En superposant les couches de vêtements lorsque le mercure descend, on prend aussi le risque que le frottement ne vienne vous irriter la peau. Conséquence ? Le risque d’infection est accru parce que la peau, lésée, ne peut plus respirer. « Le tatouage a besoin d’espace pour respirer, il vaut donc mieux choisir un moment et un endroit où votre nouveau tatouage ne sera pas étouffé par un jean épais ou un pull
« , détaillent des tatoueurs du site BarberDTS dans les colonnes de La Dépêche. Malgré tout, il semblerait que l’automne et l’hiver, durant lesquelles les rayons UV sont moins forts, soient les saisons les plus opportunes. Pour rappel, le soleil accentue le risque de brûlures et peut entraver la cicatrisation, c’est pourquoi il est recommandé d’éviter toute exposition directe pendant au moins un mois, selon la nature du tatouage.










