Au Tchad, notre confrère Olivier Monodji et de deux de ses confrères sont toujours dans l’attente de leur audience par un juge d’instruction, pourtant prévue jeudi et reportée à une date ultérieure, près d’une semaine après leur arrestation. Les trois journalistes sont accusés d’ « intelligence avec l’ennemi, d’attentat contre les institutions, de complot, et d’atteinte à l’ordre constitutionnel, à l’intégrité et à la sécurité du territoire national » et risquent de vingt à trente ans de prison selon leurs avocats. Des accusations « graves »selon Juda Allahondoum, du patronat de la presse tchadienne, qui s’inquiète de l’avenir de la liberté d’expression dans son pays.
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