samedi, octobre 19

Dans certaines régions, la décrue a été aussi rapide que la montée des eaux.
Depuis le ciel, l’étendue des dégâts entre Annonay (Ardèche) et Givors (Rhône) sont impressionnants.
L’heure est désormais au déblaiement et fastidieux nettoyage.

Pour comprendre la rapidité de la décrue, l’équipe du 20H de TF1, dans le reportage visible en tête de l’article, a choisi de survoler les zones les plus affectées par la montée des eaux, à l’image d’un terrain de football d’Annonay, dans l’Ardèche. Il ne reste ce vendredi qu’un mince filet d’eau et des monticules de terre alors que 24 heures plus tôt, le terrain était à peine visible, noyé sous une rivière de boue. 

Cette même rivière s’est engouffrée partout, jusque dans les jardins et les maisons. Ce vendredi, les derniers points d’eau stagnante sont pompés à l’aide de longs tuyaux d’aspiration, comme à Givors (Rhône), pour être directement déversés dans le fleuve. La route est donc fermée. 

L’eau s’est retirée de la zone commerciale

L’équipe de TF1 suit la route jusqu’à une zone commerciale où l’eau s’est également retirée ce vendredi. Jeudi, au même endroit, la plupart des magasins étaient totalement inondés devant une file interminable de voitures et de poids lourds.

Ce soir, la majorité des cours d’eau a retrouvé son lit mais plus au sud, dans le Gard et dans les Bouches-du-Rhône, le fleuve reste en vigilance orange crues. 


Garance RENAC | Reportage : Mathias Beringer, Etienne Bonnot, Cédric Aguilar

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