Plus de 100 dirigeants du monde entier se retrouvent à partir de mardi à New York pour la session 2024 de l’Assemblée générale de l’ONU. L’accent devrait être mis sur l’embrasement au Proche-Orient.
La grand-messe annuelle de l’ONU commence mardi 24 septembre à New York, avec la crainte d’une guerre régionale au Proche-Orient, escalade qui va dominer cette session de l’Assemblée générale à laquelle participe pour la dernière fois le président américain Joe Biden.
Après deux journées de « Sommet de l’avenir » consacrées aux grands défis de l’humanité pour les générations qui viennent, plus de 100 chefs d’État et de gouvernement vont se succéder à la tribune pendant une semaine assombrie par les conflits qui font rage, en particulier au Liban et dans la bande de Gaza.
« Cette année, l’accent sera mis sur les questions de guerre et de paix », commente Richard Gowan, de l’International Crisis Group. En particulier Gaza, l’Ukraine et le Soudan.
Mardi, à la demande des Ukrainiens qui, selon des sources diplomatiques, craignaient cette année que « leur » guerre ne soit éclipsée, le Conseil se réunira sur l’Ukraine en présence du président Volodymyr Zelensky, star de l’édition 2023.
Avec AFP
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