vendredi, décembre 5
Pierre-Olivier Beckers-Vieujant (à gauche), le président de la commission spéciale du Comité international olympique, et Edgar Grospiron, le patron du comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de 2030, au Grand-Bornand (Haute-Savoie), le 3 décembre 2025.

En fond de tableau, la neige et le soleil d’abord, puis la pluie sur la station du Grand-Bornand (Haute-Savoie), où se sont terminés, mercredi 3 décembre, les trois jours du premier déplacement de la commission spéciale du Comité international olympique (CIO). Du 1er au 3 décembre, l’instance présidée par le Belge Pierre-Olivier Beckers-Vieujant, chargée de suivre l’évolution de l’organisation des Jeux d’hiver dans les Alpes françaises en 2030, a mené sa première inspection d’une partie des sites qui devraient les accueillir.

La délégation a été reçue à Val-d’Isère, Courchevel et Albertville, en Savoie, ainsi qu’à La Clusaz et au Grand-Bornand, en Haute-Savoie ; autant de lieux qui font partie du « schéma préférentiel » – encore non définitif – élaboré par le Comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques (Cojop). Si Val-d’Isère a fait des allers-retours dans cette liste, le président du Cojop, Edgar Grospiron, a rappelé ce mercredi encore son ambition de pouvoir « intégrer ce site iconique, compte tenu de ses infrastructures exceptionnelles et de l’engagement de la collectivité ». La décision définitive quant à la sélection des sites doit être prise début 2026, à quatre ans des Jeux, et sera au menu des prochains groupes de travail.

Il vous reste 77.88% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

Share.
Exit mobile version