jeudi, décembre 25

  • L’armée israélienne a assuré avoir tué un terroriste au Liban, membre d’une unité d’élite iranienne.
  • Un homme présenté comme un « terroriste » et qui a été neutralisé par une frappe aérienne.
  • Un cessez-le-feu est instauré depuis novembre 2024 avec le Hezbollah, mais l’armée israélienne continue de mener régulièrement des frappes sur le territoire libanais.

Accusé de planifier des attaques « depuis la Syrie et le Liban », un « terroriste » a été tué au Liban, annonce l’armée israélienne. Il était membre de la Force Qods, la branche des opérations extérieures des Gardiens de la révolution iraniens. Hussein Mahmoud Marchad al-Jawhari aurait ainsi joué un rôle « central dans l’unité opérationnelle de la Force Qods – unité 840 – et était impliqué ces dernières années dans la planification (…) d’attaques terroristes contre l’État d’Israël, depuis la Syrie et le Liban », indique un communiqué de Tsahal.

Israël maintient sa pression sur le Liban

L’attaque sanglante du Hamas palestinien contre Israël le 7 octobre 2023 et la guerre dévastatrice qui a suivi dans la bande de Gaza ont provoqué plusieurs soubresauts au Moyen-Orient. Dans le nord d’Israël, un deuxième front s’était rapidement ouvert, se traduisant par des combats contre le mouvement pro-iranien libanais Hezbollah. Des affrontements qui ont dégénéré à l’automne 2024, donnant lieu à une guerre ouverte de deux mois.

Malgré un fragile cessez-le-feu observé depuis novembre 2024 entre les deux belligérants, l’armée israélienne continue de mener régulièrement des frappes sur le territoire libanais, disant viser le Hezbollah. On se souvient par ailleurs qu’une guerre de 12 jours (nouvelle fenêtre) a aussi opposé Israël à l’Iran en juin dernier, déclenchée par une attaque d’une ampleur inédite d’Israël contre des sites militaires, nucléaires et des zones résidentielles.

Plus tôt ce jeudi, les autorités libanaises avaient rapporté la mort de deux personnes qui n’étaient pas identifiées dans une frappe israélienne sur le nord-est du pays, près de la frontière syrienne.

TD avec AFP

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