vendredi, octobre 4

« Des sites d’infrastructure adjacents au poste-frontière de Masnaa, entre la Syrie et le Liban, ont été frappés la nuit dernière », a confirmé l’armée israélienne vendredi à la mi-journée dans un communiqué. Un raid qui a entraîné la coupure de la route internationale entre les deux pays, empruntée ces derniers jours par des centaines de milliers de réfugiés pour fuir les bombardements d’Israël.

Israël justifie cette frappe par la présence, selon elle, d’un « tunnel souterrain qui traverse le territoire libanais vers le territoire syrien, d’une longueur d’environ 3,5 kilomètres, qui est utilisé par le Hezbollah pour transférer et stocker des armes », précise-t-elle sur son compte X. Hier, le ministre des transports libanais, Ali Hamié, avait assuré que « tous les postes-frontières, dont celui de Masnaa, sont surveillés par les institutions publiques, notamment le ministère des transports, les autorités douanières, la direction générale de la sécurité et l’armée libanaise ».

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