À peine quelques jours après le début des Jeux olympiques de Paris, les premières exclusions viennent déjà secouer la compétition. La boxeuse nigériane Cynthia Temitayo Ogunsemilore, le judoka irakien Sajjad Sehen et la volleyeuse dominicaine Lisvel Eve Mejia ont tous été testés positifs à des substances interdites. Malgré les espoirs que leur participation aux Jeux de Paris suscitait, ils ne pourront finalement pas concourir.
Des technologies de pointe ont été déployées pour détecter tous les types de dopants durant cet événement mondial. La surveillance de cet immense dispositif est assurée par l’International Testing Agency (ITA). Selon cette agence, créée en 2018 et partiellement financée par le Comité International Olympique (CIO), environ 4 000 des 10 500 athlètes présents à Paris seront contrôlés.
À LIRE AUSSI Dopage, chronométrages, règles du jeu… Le tribunal des JO est en place
En ce qui concerne la natation, 11 des 31 athlètes chinois engagés aux Jeux olympiques avaient déjà été testés positifs en 2021 à la trimétazidine, une substance pouvant améliorer les performances, comme le rapporte l’Equipe. Parmi eux se trouvent la nageuse Zhang Yufei, spécialiste du papillon, qui a remporté deux médailles d’or à Tokyo, ainsi que Wang Shun, champion olympique du 200 m quatre nages.
Violation des règles antidopage
Dimanche, l’ITA a déclaré la suspension de Cynthia Temitayo Ogunsemilore pour violation des règles antidopage. Un échantillon prélevé sur la boxeuse […] Lire la suite