La sentence a été dure à digérer pour Stéphane Plaza, condamné le 12 février à douze mois de prison avec sursis pour violences habituelles par concubin. D’autant qu’après la punition légale, l’animateur de Maisons à vendre et Chasseurs d’appart sur M6 s’est vu lâcher par sa chaîne. Et que la franchise d’agences immobilières qui porte son nom aimerait bien l’effacer de ses vitrines – dix agences avaient déjà entamé des démarches, selon BFMTV en janvier, pour quitter le réseau.
« Meurtri, isolé, mais debout », tels sont les mots par lesquels celui qui a fait de la recherche d’appartement un plaisir partagé par des milliers de téléspectateurs se définit aujourd’hui. Et pour exprimer son état d’esprit actuel, l’agent immobilier s’est lancé dans la poésie.
« Marqué par l’ombre du doute »
Dans un très long poème en vers libres sur Instagram, Stéphane Plaza se retourne sur les événements douloureux qui ont marqué son passé récent. L’attente du procès, les « deux ans d’épreuve » ou encore le « deuil de maman » évoquent le « chaos » par lequel l’animateur de M6 est passé. Son « nom marqué par l’ombre du doute », l’homme blessé se demande « comment se relever quand tout vacille ».
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« Le piège se referme dans ma tête. L’injustice hurle », indique-t-il. Or si le « chagrin » est là, si son « cœur » est « dévasté en quête d’air », Stéphane Plaza promet d’être un battant qui se relèvera. Tel u […] Lire la suite