Pierre est infirmier au CHRU Jean-Minjoz à Besançon, et il est souvent amené, bien sûr, à effectuer des prises de sang. Comme tous les soignants – et leurs patients parfois – le savent, « trouver la veine » n’est pas toujours une partie de plaisir. « Notamment en situation d’urgence, quand les conditions pour faire un prélèvement sanguin ne sont pas optimales », précise le professionnel.
Certes, il existe de petits appareils qui éclairent l’endroit, sur le bras, où la piqûre doit être pratiquée, « mais ce n’est pas l’idéal. Peut-être qu’on pourrait en améliorer le principe… », avance…