En forme, Michel Polnareff a donné son premier concert, la semaine dernière, à Londres et lancera au Printemps de Bourges, le 15 avril, ce qu’il appelle pour rire sa « derrière tournée ». Parmi ses temps forts, le Zénith à Caen, le 6 mai prochain, et l’Accor Arena, à Paris, le 14 juin. Dans la foulée, il sort un nouvel album Un temps pour elles, qui sera dans les bacs le 25 avril. Huit chansons d’amour ciselées, de facture classique, entre piano et grandes envolées orchestrales soutenues par une voix haute, solide qui n’a pas changé.
À 80 ans, le chanteur a quitté la Californie pour reconquérir son public, après sa tournée Polnareff chante France, en 2023, dans laquelle il reprenait ses classiques. De quoi effacer le mauvais souvenir de sa précédente tournée (2016), interrompue brutalement pour des problèmes de santé, et l’échec de son album Enfin (2018).
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Il y a quelques jours, il assurait sa promotion dans un palace versaillais, éternelles lunettes blanches, chemise jaune exotique ouverte sur son torse bronzé et couvert de pendentifs en or. Planté devant lui sur un socle, son iPhone orangé qu’il ne quitte jamais.
Le Point : Que représente pour vous ce nouvel album, Un temps pour elles ? Une réapparition, une renaissance ?
Michel Polnareff : Un peu tout ça. Disons que j’avais envie de revenir sur scène avec de nouvelles chansons auxquelles je crois beaucoup. J’ai m […] Lire la suite
