samedi, octobre 5

Donald Trump retourne à Butler, samedi 5 octobre, lors d’un meeting. Dans cette ville de Pennsylvanie, le candidat républicain à la présidentielle américaine avait été blessé par balle à l’oreille droite il y a trois mois, visé par une tentative d’assassinat par un tireur isolé. Malgré le drame, Il n’a pas changé d’avis sur les armes à feu, tout à l’image de son électorat, qui ne veut pas entendre parler de plus de contrôles, où qu’il soit dans le pays.

Avec nos envoyés spéciaux à Ferriday, Vincent Souriau et Julien Boileau

La saison de la chasse vient d’ouvrir. Et dans la boutique d’Homer Hewitt, dans la ville de Ferriday, en Louisiane, on trouve de tout : des arcs de compétition, des flèches en titane ou en carbone, des arbalètes à visée laser, des tentes à motif camouflage. Le tir, c’est sa vie, et d’après lui c’est cette liberté que les démocrates veulent lui enlever.

« Si on ne défend pas notre liberté, si on ne dit rien, on va la perdre cette liberté, c’est une honte, s’agace Homer. Donald Trump, est-ce que je suis d’accord avec tout ce qu’il dit ? Non. Mais c’est un homme fort. Et quand ils ont voulu le tuer, la première chose qu’il a faite c’est de se relever et de dire : « battez-vous ! ». C’est cela qu’on doit faire pour l’Amérique. »

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