Elles étaient sur toutes les photos. Eugenie et Beatrice d’York, les filles d’Andrew et Sarah Ferguson, avaient été conviées à fêter Noël avec le reste de la famille royale à Sandringham dans l’est de l’Angleterre. Contrairement à leur père Andrew, frère du roi, déchu de tous ses titres, y compris de celui de prince, et bientôt privé de sa résidence de Royal Lodge à Windsor, en raison de ses liens avec le milliardaire pédocriminel Jeffrey Epstein.
Leur mère Sarah Ferguson est elle aussi en disgrâce depuis l’exhumation de mail révéalnt également des liens, d’ordre financiers, avec Epstein. Le Times avait révélé dès septembre dernier que l’ex-couple ne serait pas convié à Sandringham.
Les deux princesses, nièces de Charles III, étaient elles, en bonne place, le 25 décembre, dans le cortège royal, au sortir de l’église Sainte Marie-Madeleine, où la famille a assisté à la mi-journée, à la messe de Noël. Cette déambulation, menée par le roi Charles et la reine Camilla, est prétexte à saluer les journalistes et le public, massé derrière des barrières. Certains fans, selon le Times, avaient même passé la nuit là pour ne pas rater le cortège royal.
Le sérieux de Charlotte
Les trois enfants de Kate et William ont cette année particulièrement pris la lumière, les médias britanniques s’extasiant sur le sérieux de la princesse Charlotte, 10 ans, et sur l’espièglerie de Louis.
Edward et Anne, frère et sœur du roi Charles, étaient également présents avec conjoints et enfants. On a ainsi pu voir Zara Tindall, la fille de la princesse Anne, avec son époux Mike, ex-rugbyman, et leurs enfants Mia, Lena et Lucas.
Il y avait même David Armstrong-Jones, fils de la princesse Margaret, sœur cadette de la reine Elizabeth et cousin du roi Charles.
Beatrice et Eugenie, qui ont pu, contrairement à leur père, conserver leurs titres de princesse, avaient donc choisi de rejoindre la famille royale, plutôt que de passer Noël avec leur père.
Le 25 décembre, la télévision britannique a également diffusé le discours du roi Charles. Le souverain a appelé à « chérir les valeurs de compassion et de réconciliation » dans un monde incertain qui « semble tourner toujours plus vite », lors de son traditionnel discours de Noël, axé sur le dialogue inter-religieux.
Article original publié sur BFMTV.com




