mardi, janvier 7

Le cauchemar des automobilistes, des cyclistes, des piétons, bref, de tout le monde : le klaxon. Et particulièrement à Paris. Dans une étude publiée en 2021 par l’observatoire Bruitparif, un quart des habitants de la capitale estime qu’il est la principale source des désagréments relatifs aux bruits liés aux transports, et ce, devant le vrombissement des moteurs. Alors, rapporte Le Parisien ce lundi 6 janvier, la municipalité a décidé de prendre le taureau par les cornes.

Lors du dernier Conseil de Paris, une subvention a été votée pour mener une nouvelle étude, qui permettra d’analyser plus précisément la part des klaxons dans le bruit routier de la capitale. Elle durera jusqu’à fin 2025 et se décomposera dans quatre quartiers surexposés aux sirènes et aux klaxons : boulevard de Montparnasse, de Port-Royal, Saint-Marcel et de l’Hôpital (5e, 6e, 12e et 14e arrondissements).À LIRE AUSSI Comment le bruit détraque notre santé en silenceCes radars modernes, installés à cinq mètres de hauteur, détectent grâce à des micros les infractions sonores dans un rayon de quinze mètres. Et ce, même en cas d’important trafic routier. C’est d’abord une phase de test : « Pour réduire la pollution sonore, il s’agit en grande partie de sensibiliser la population. Il faut dialoguer avant d’entrer dans une phase de sanction », estime le maire LR du 17e arrondissement, Geoffroy Boulard.

Les véhicules de police sont les plus fautifs

Les précédentes études avaient mis en avant que […] Lire la suite

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