dimanche, septembre 22

Les États membres de l’ONU se sont engagés ce dimanche 22 septembre à adopter une série de mesures destinées à offrir « un avenir meilleur » pour l’humanité. Le texte promet notamment de réformer le Conseil de sécurité, en y renforçant la place de l’Afrique.

Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres avait lancé en 2021 l’idée de ce « Sommet de l’avenir » présenté comme une « occasion unique » de changer le cours de l’histoire de l’humanité. « Nous avons ouvert la porte, il nous incombe désormais à toutes et à tous de la franchir, car il ne s’agit pas seulement de s’entendre, mais aussi d’agir. Et aujourd’hui, je vous mets au défi de passer à l’action », a-t-il déclaré ce dimanche à la tribune des Nations unies après l’adoption du texte.

Après d’âpres négociations jusqu’au dernier moment, il avait préparé plusieurs versions de son discours en cas d’échec de ce sommet qui ouvre la grand-messe annuelle de l’Assemblée générale de l’ONU où plus de 130 chefs d’État et de gouvernement se succèderont à la tribune à partir du 24 septembre. Sans empêcher l’adoption du pacte, la Russie, soutenue par la Biélorussie, l’Iran, la Corée du Nord, le Nicaragua et la Syrie, a affiché son opposition au texte, réclamant en vain d’ajouter des éléments soulignant que l’ONU « ne peut pas intervenir » dans les affaires « internes » des États.

Une liste d’actions et de réformes

Lire la suite sur RFI

Partager
Exit mobile version