Comment protéger les enfants, premières victimes du changement climatique ? Selon l’ONU, si la tendance se poursuit, huit fois plus d’enfants dans le monde vont être exposés à des vagues de chaleur extrême dans les années 2050, trois fois plus seront confrontés à des inondations. Dans le cadre de la journée mondiale du droit des enfants, la Défenseure des droits en France a publié mercredi 20 novembre le rapport 2024 sur le sujet, intitulé « le droit des enfants à un environnement sain ».
Dans le monde, un décès d’enfant de moins de cinq ans sur quatre est lié aux phénomènes de pollution. Dans ce rapport de la Défenseure des droits, les 3 400 jeunes Français qui ont été consultés par l’institution – c’est le cas depuis cinq ans – ont clairement indiqué leurs préoccupations.
Leur situation n’est pas la même selon l’endroit où ils vivent. Mais tous s’inquiètent de la disparition des espèces, de l’augmentation des déchets, de la pollution de l’air et de l’eau et l’impression qu’ils ont est que les adultes ne saisissent pas la gravité de la situation.
Garantir l’accès l’eau potable dans tous les territoires ultramarins
Certains le disent dans leurs commentaires : ils ont peur d’être là ou l’une des dernières générations sur Terre. Ils ne sont pas sûrs de vouloir donner à leurs éventuels enfants un tel environnement. Ils se sentent ainsi directement menacés dans plusieurs territoires ultramarins.
Garantir l’accès à l’eau potable partout, y compris dans les territoires ultramarins, c’est l’une des recommandations du rapport.
Accompagner les enfants victimes de catastrophes naturelles
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