mardi, décembre 23
Vue générale de l’Assemblée nationale lors d’une réunion du socle commun, à Paris, le 1ᵉʳ octobre 2025.

Après avoir été laissé à la porte du bureau de l’Assemblée nationale l’an dernier, le Rassemblement national a fait mercredi 1er octobre son retour dans la plus haute instance exécutive de la chambre basse en récupérant deux vice-présidences sur six.

Déjà vice-présidents de l’Assemblée entre 2022 et 2024, les députés RN Sébastien Chenu et Hélène Laporte retrouvent leurs postes, grâce notamment aux votes conjugués de leurs troupes et d’une partie du socle commun. Les insoumises Clémence Guetté et Nadège Abomangoli retrouvent également leurs sièges. Christophe Blanchet (MoDem) et Marie-Agnès Poussier-Winsback (Horizons), sont aussi élus.

Les élus RN ont bénéficié des voix du bloc central pour obtenir ces postes, au grand dam de la gauche qui estimait qu’aucun suffrage ne devait aller à l’extrême droite, en vertu du « Front républicain » mis en place à l’occasion des élections législatives de l’été 2024.

A l’occasion de l’ouverture de la session parlementaire, les députés ont aussi choisi trois questeures, qui ont pour mission de surveiller les finances de l’Assemblée.

Le Monde

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