Les autorités brésiliennes s’inquiètent de l’abandon du programme de fact-checking de Meta, qui regroupe Facebook, Instagram et WhatsApp, aux États-Unis. Le ministre de la Communication déplore une annonce « mauvaise pour la démocratie », quand le parquet fédéral de Sao Paulo a donné 30 jours à Meta pour expliquer si cette décision s’appliquera au Brésil.
Après l’annonce par Meta de l’arrêt de son programme de fact-checking aux États-Unis, les autorités brésiliennes ont haussé le ton mercredi 8 janvier, à l’image d’un juge de la Cour suprême fustigeant « les bravades de dirigeants irresponsables » des géants du numérique.
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Sidonio Palmeira, fraîchement nommé ministre de la Communication par le président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, a jugé « mauvaise pour la démocratie » la décision de l’entreprise de Mark Zuckerberg, qui regroupe les plateformes Facebook, Instagram et WhatsApp.
Avec AFP
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