mardi, octobre 15

Le 14e édition des Réseaux pour l’environnement et la sécurité dans les aires protégées de la RDC (Resap) s’est déroulée du 8 au 14 octobre 2024 à Kisangani. À cette occasion, le directeur des parcs, domaines et réserves de l’Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN) a tiré la sonnette d’alarme concernant les conséquences des activités des groupes armés et du braconnage sur la biodiversité dans l’Est de la RDC. Détails.

Avec notre correspondant à Kisangani, Joseph Kahongo

À Kisangani, dans le nord-est de la République démocratique du Congo (RDC), les Réseaux pour l’environnement et la sécurité dans les aires protégées (Resap), s’est réuni du 8 octobre au 14 octobre 2024 pour évaluer la surveillance et de la sécurisation des aires protégées en RDC. C’est depuis 2010 que les gestionnaires des aires protégées et leurs partenaires techniques et financiers échangent chaque année sur les bonnes pratiques pour la gestion efficace et la conservation durable de la biodiversité.

Pour cette 14e édition, tenue dans le chef-lieu de la province de la Tshopo, l’Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN) a tiré la sonnette d’alarme au sujet de l’activité des groupes rebelles et des braconniers dans les parcs qui menacent l’existence de plusieurs animaux, notamment dans les provinces voisines du Nord-Kivu et de l’Ituri.

« Si on ne prend pas garde, on risque de tout perdre »

Le parc de Virunga a ainsi connu une perte de plus 50 % de ses animaux depuis la résurgence de la rébellion du M23, selon l’ICCN.

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