lundi, septembre 30

Jean-Luc Mélenchon se retrouve à nouveau dans la tourmente. La porte-parole du gouvernement, Maud Bregeon, a condamné ce dimanche 29 septembre sur son compte X les propos du leader des Insoumis, l’accusant d’avoir tenu des « sous-entendus nauséabonds » concernant Benjamin Haddad, ministre délégué aux affaires européennes, lors d’une prise de parole publique la veille.

Mélenchon a en effet suscité une vive polémique sur les réseaux sociaux après avoir partagé un extrait de son discours prononcé à Mende, en Lozère. Dans un contexte déjà tendu, marqué par les frappes israéliennes au Liban et la mort du chef du Hezbollah, le leader de La France insoumise a pris position sur le conflit régional. Un passage de ses propos, ciblant Benjamin Haddad, a particulièrement interpellé : « Il ne se passera rien, car le ministre qui a été désigné pour s’occuper de l’Europe est quelqu’un qui est acquis à la politique de monsieur Netanyahou. » Il a poursuivi en affirmant : « Or si l’Europe décidait qu’on ne livre plus d’armes européennes d’un pays européen, la guerre s’arrêterait. »

Le ministre désigné pour s’occuper de l’Europe est acquis à la politique de M. Netanyahu.

Or, si l’Europe décidait de ne plus livrer d’armes européennes, la guerre s’arrêterait. Si l’Europe stoppait les rapports commerciaux, il ne pourrait pas tenir.

Ce n’est pas vrai que nous… pic.twitter.com/GadvZxGIQW

— Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) September 28, 2024

Cette déclaration a rapidement ét […] Lire la suite

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