Encore une nouvelle formule. Tâtonnant depuis des années sur la question, la NBA a annoncé, mardi 11 novembre, une nouvelle mouture de son « match des étoiles », le All-Star Game. Lors de l’édition 2026, qui se disputera le 15 février dans l’enceinte a flambant neuve des Los Angeles Clippers, en Californie, la grand-messe de la ligue nord-américaine de basket verra les stars locales opposées à celles du reste du monde. Une évolution appelée de leurs vœux par de nombreux acteurs depuis plusieurs années, au fil de la montée en puissance des basketteurs étrangers en NBA – et du désintérêt de plus en plus marqué du public pour le All-Star Game.
« Ce serait le format le plus intéressant et le plus excitant, plaidait ainsi, en février, le Grec des Milwaukee Bucks Giannis Antetokounmpo, sacré à deux reprises MVP (Most valuable player, meilleur joueur) de la ligue. Cela donnera un petit plus en matière de compétition. Affronter les meilleurs joueurs américains, ce serait fun, et ça pousserait les joueurs à jouer sérieusement. » Car depuis plusieurs années, le match de prestige qui réunit tous les ans les meilleurs joueurs de la NBA a viré en rencontre d’exhibition dénuée d’enjeu, de défense – et bien souvent d’intérêt.
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