En France ce samedi 23 novembre, des rassemblements d’associations féministes exigent une loi intégrale pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles. Et l’hôpital n’est pas épargné. En avril dernier, avec le hashtag #metoohopital, des femmes, internes en médecine ou étudiantes, ont dénoncé des violences sexistes et sexuelles. Sept mois plus tard, la parole des victimes est davantage entendue car les dispositifs d’écoute et les consciences évoluent.
Ce samedi, plusieurs rassemblements d’associations féministes exigent une loi intégrale pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles (VSS). Des violences qu’une femme médecin sur deux dit subir durant ses études de santé ou au travail, d’après le Conseil national de l’Ordre des médecins.
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En avril dernier, avec le hashtag #metoohopital, plusieurs victimes dénonçaient les agressions qu’elles disaient avoir subies.
Sept mois plus tard, le constat est clair : la parole se libère, mais l’omerta persiste.
Faciliter les sanctions
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