« Il y a les sanctions qui visaient Bachar Al-Assad et les bourreaux de son régime, ces sanctions-là n’ont évidemment aucune vocation à être levées. Ensuite, il y en a d’autres qui aujourd’hui entravent l’accès à l’aide humanitaire, qui empêchent le redressement du pays et celles-ci pourraient être levées rapidement », a insisté le chef de la diplomatie française sur France Inter, mercredi.
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