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Didier Deschamps, le sélectionneur de l’équipe de France, lors du tirage au sort de la Coupe du monde 2026, à Washington, le 5 décembre 2025.

L’équipe de France de football a hérité d’un groupe difficile pour la première phase de la Coupe du monde 2026, lors du tirage au sort, qui a eu lieu vendredi 5 décembre, à Washington. Les Bleus devront en effet affronter deux adversaires de poids, la Norvège et le Sénégal, et une sélection issue d’un barrage intercontinental (la Bolivie, l’Irak ou le Surinam), lors du tournoi planétaire, organisé du 11 juin au 19 juillet 2026, aux Etats-Unis, au Canada et au Mexique.

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En vertu de leur statut de tête de série, les Tricolores étaient assurés d’éviter les « grosses » équipes, comme l’Espagne ou l’Argentine, mais ils ont tout de même hérité de la sélection la plus menaçante du chapeau 3, la Norvège, menée par son buteur star, l’attaquant de Manchester City, Erling Haaland. Une nation, certes seulement 29e au classement de la Fédération internationale de football (FIFA), mais qui est en pleine dynamique : elle s’est qualifiée pour le Mondial en survolant son groupe – devant l’Italie – avec 37 buts inscrits et 8 victoires en autant de matchs. Une équipe jeune et remplie de talents. Aux côtés d’Erling Haaland figurent des joueurs de très haut niveau, comme le meneur de jeu d’Arsenal, Martin Odegaard, ou encore l’attaquant de l’Atlético Madrid, Alexander Sorloth.

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