Admirateurs ou proches, tout le monde a été surpris et attristé par la mort subite de Michel Blanc.
Victime d’un choc anaphylactique lors d’un examen médical, l’acteur a succombé à un arrêt cardiaque.
Dans le quartier du Marais, la star était un voisin apprécié de tous, a constaté le 13H de TF1.
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Mort de Michel Blanc, emblématique membre des Bronzés
Pour beaucoup, c’est un quartier touristique au cœur de Paris, dans le 4ᵉ arrondissement, ou un lieu de fête. Mais pour Michel Blanc , le Marais était son village. « C’était notre voisin, on le croisait souvent », confirme une jeune femme dans le reportage de TF1 ci-dessus. L’acteur, décédé brutalement ce jeudi, avait ses habitudes dans le restaurant « Ma Bourgogne », sur la place des Vosges. Il y dînait parfois en compagnie des propriétaires, particulièrement émus depuis l’annonce de sa mort. « Ça m’a choquée, la veille au soir, on était là ensemble », témoigne Marie-Thérèse Cougoureux, gérante du restaurant, en désignant une table.
« Douleur immense »
Dès hier soir, dans un autre quartier de Paris, les admirateurs de Michel Blanc se sont pressés aux portes du Splendid, le café-théâtre mythique où l’acteur avait fait ses débuts aux côtés de Josiane Balasko, Christian Clavier, Marie-Anne Chazel, Thierry Lhermitte, Bruno Moynot et Gérard Jugnot. À l’entrée, ils ont pu lire un message signé par l’ensemble de ces amis de toujours, associés « d’une seule et unique voix pour exprimer leur douleur immense suite au décès de leur ami et compagnon Michel Blanc », cinq ans après la mort d’Anémone, un autre pilier de la troupe.
La voix de Michel Blanc, elle, ne s’éteindra jamais, dans les innombrables films dans lesquels il a joué. Des t-shirts, en vente en ligne, reprennent même certaines de ses répliques « culte », celles que le pays entier connaît. « C’est mes yeux, ou quoi ? » ou « je sens que ce soir, je vais conclure ».
