mardi, mai 21

Une journée du 1er mai traditionnelle. Après une fête du Travail marquée en 2023 par la réforme des retraites et un défilé unitaire des organisations syndicales, elles défileront cette année de manière dispersée, avec leurs propres revendications, « contre l’austérité », « pour la paix », ou encore pour une Europe « plus protectrice ».

Selon une source policière, citée par l’Agence France-Presse (AFP), moins de 150 000 personnes sont attendues ce mercredi 1er mai dans toute la France, où la fonction publique, notamment avec les enseignants, pourrait fournir le gros des troupes. Céline Verzeletti, secrétaire confédérale CGT, s’attend néanmoins à « un 1er mai important en mobilisation » avec plus de 215 points de rassemblement sur tout le territoire.

À Paris, le cortège doit s’élancer à 14 heures depuis la place de la République, pour rejoindre la place de la Nation, avec la CFDT, l’Unsa, la CGT, FSU et Solidaires. Selon une source policière à l’AFP, entre 15 000 et 30 000 personnes sont attendues dans la capitale.

Différentes revendications

Dans un communiqué commun, la CGT, FSU et Solidaires ont appelé à « manifester partout en France le 1er mai », notamment « contre l’austérité », pour l’emploi et pour les salaires. Les organisations entendent également inscrire cette journée « dans un contexte marqué par les guerres terriblement meurtrières, notamment en Ukraine et en Palestine ». Elles « réaffirment leur engagement pour une paix juste et durable ».

Des organ […] Lire la suite

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